Préoccupés par les mesures sanitaires et les confinements à répétition nous ne nous sommes pas souciés des causes structurelles de la pandémie, ni des leçons qu’il faudrait en tirer. Depuis plus d’un an les fragilités du système mondialisé, a montré ses faiblesses et l’alerte est sérieuse.
Comme pour le climat qui déploie ses frasques, le monde des humains devrait chercher à atténuer les causes car pour soigner les effets il semble que ce soit un peu tard.
« Le pire est à venir, avec des implications sur la vie de nos enfants et nos petits-enfants bien plus que sur la nôtre », affirme le GIEC (juin 2021) ; extraits.
Un avant-goût des crises à venir (extrait M. Mondialisation)
"Non seulement la machine mondialisée est grippée, mais les dégâts qu’elle engendre sur la planète et dans nos sociétés sont plus graves encore que ceux engendrés par la pandémie. Alors que le monde peine à gérer ce virus, une question inquiétante se pose : comment ferons-nous face aux nombreux autres défis qui attendent la planète, comme le dérèglement climatique, la crise de la biodiversité, l’épuisement des ressources naturelles ou encore les chocs politiques et sociaux qui risquent de survenir ? Des défis déjà bien actuels. En 2020, la pollution liée aux énergies fossiles a fait 4 fois plus de morts à travers le monde que le coronavirus… Qui s’en soucie ?" Lire plus