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Economie circulaire et collaborative (dossier)

Mieux consommer (textile) vu par Redonner
Repenser ses habitudes pour favoriser l’usage à la possession, prendre en compte les impacts environnementaux au travers d’une consommation responsable et favoriser l’allongement de la durée d’usage pour chacun de ses vêtements (réparation, réutilisation et réemploi).
Un constat : La mode pollue, c’est un fait. Aujourd’hui, c’est près de 500 000 tonnes de vêtements qui finissent aux ordures chaque année.
Redonner du sens à la mode en vous aidant à passer en mode circulaire.
Faire du recyclage textile, un réflexe pour tous !
Seule une augmentation de la part des volumes de vêtements collectés permettra d’accélérer l’industrialisation de la filière du tri et du recyclage, point de passage obligatoire pour construire une économie circulaire pérenne dans l’industrie de la mode.
Pour redonner à chacun le réflexe de recycler ses vêtements, Redonner simplifie le processus de don tout en récompensant votre engagement pour une mode responsable. Voir sur le site de Redonner, Comment ça marche ?

Boomerang. Des emballages réutilisables.
Ecopack Solutions s’est lancé dans l’ambitieux projet de changer nos habitudes de consommation en imaginant un colis réutilisable ne gaspillant pas de nouvelles ressources. "En fait, je pars d’un déchet pour éviter des déchets" résume Clément Filère le fondateur.
Rien ne se perd, tout se transforme. Clément Filère ne le cache pas, il s’est inspiré d’une initiative d’emballage réutilisable finlandaise, qui consiste à utiliser des matériaux destinés à être jetés pour les réintroduire dans la chaîne de consommation. Pour Ecopack Solutions, l’idée est de réutiliser les bâches publicitaires. Constituées de textile et de plastique, elles nécessitent trop de main d’œuvre pour être recyclées et finissent la plupart du temps à l’incinérateur. Mais solides, souples et étanches, ces toiles plastiques font d’excellentes enveloppes de livraisons.
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Servez-vous c’est gatuit ?

Une boutique sans argent à Paris, quelques autres initiatives locales qui vont dans le sens de la gratuité. Utopie ? Non pas tout à fait, les gratiférias commencent à se multiplier.

L’économie collaborative, fondée sur le don et le partage, compte de plus en plus d’adeptes en France. Le principe ? Se nourrir, se vêtir, échanger l’usage d’un aspirateur ou encore prendre des cours de chant sans dépenser le moindre centime.

Gratiféria c’est quoi ?

Une fête du partage et de la gratuité. Un temps pour repenser notre rapport aux objets et valoriser nos échanges.

Une gratiferia est un marché où les produits sont gratuits. Ces événements ont vu le jour grâce à Ariel Bosio, un jeune argentin, il explique : « J’ai découvert que je pouvais vivre avec moins d’affaires que ce que je possédais et que c’était surtout une question d’habitude ».

Pas de troc, pas de rétrocession du don tout simplement.

N’importe qui peut organiser un gratiferia, à la seule condition que le lieu soit public, ouvert à tous et qu’aucun droit d’entrée ne soit exigé. Avec un message simple : « Amenez ce que vous voulez, ou rien du tout. Repartez avec ce qui vous plaît ».

Gap n’échappe pas à cette tendance le 7 septembre 2019 une nouvelle Gratiféria réunira ses adeptes au parc Galleron à partir de 17 heures.

>> Gratiféria 05